- * Le principe de Jean-Luc
- - Impossible brainstorming (remue-méninges), page 397.
- - Prophétie et miséricorde, page 400.
- - Perception ultra-mentale, page 403.
- - Un étalement optique, page 406.
- - Mon concept du 2as1-Center, page 411.
- - Voyance bicolore, page 415.
- - Une chance sur deux, page 417.
- - La couleur demandée, page 420.
- - L'empreinte du ruban, page 424.
- - Panachage ?, page 428.
Le principe de Norman L. Gilbreath « Lorsqu'un jeu de cartes classé en rouges et noires alternées est coupé en deux paquets, avec une carte noire sur la face de l’un des paquets et une carte rouge sur la face de l’autre, et, si ces deux paquets sont mélangés l’un dans l’autre au moyen d’un mélange par imbrication, alors dans ces conditions chaque paire de cartes consécutives du jeu sera composée d’une carte rouge et d’une carte noire ».
Le principe de Jean-Luc Chéreau « Si nous déterminons combien de cartes rouges et noires nous avons dans une séquence de cartes qui se termine par deux noires consécutives lorsque la coupe du jeu classé en alternant rouges et noires s'est faite entre deux noires consécutives et une rouge qui suit nous pouvons affirmer qu'il y aura toujours autant de noires que de rouges dans la dite séquence de cartes ».
ou bien encore cette plus juste approche : Si nous prenons soin de couper un jeu où les cartes rouges et noires alternent de manière que chaque dernière carte soit de la même couleur (rouge ou noire), que nous mélangions ces deux paquets à l'américaine, il en résultera que si nous recherchons une séquence de cartes qui se termine par deux noires précédées de deux rouges nous en déduirons qu'il y a autant de cartes rouges que de noires. De même si la dite séquence de cartes se termine par deux rouges.